Bolivia Evo Morales : La Planète est beaucoup plus importante que les bourses de Wall Street et du monde

moralesdocument de propositions pour le sommet sur le Changement Climatique à l’ONU (Copenhague) traduit pour changement de société , https://socio13.wordpress.com/ par Danielle Bleitrach et pedrito

Aujourd’hui notre mère la terre est malade. Depuis le début du XXI e siècle nous sommes en train de vivre les années les plus chaudes  des derniers millénaires. Le réchauffement global est en train de provoquer des changements brusques de climat: le recul des glaciers et la diminution des calottes polaires: l’augementation du niveau de la mer et l’inondation de territoires côtiers dans la proximité desquels vit 60% de la population mondiale; l’avancée du processus de désertification et la diminution des sources d’eau douce; une pklus grande fréquence des désastres naturels dont souffrent les communautés de la planète  [1] ;  l’extinction des espèces animales et végétales; et la propagations de maladies dans des zones qui avant étaient saines.
Une des conséquences les plus tragiques du changement climatique est que certaines nations et territoires sont en train d’être condamnées à disparaître par élévation du niveau de la mer.
Tout a commencé avec la révolution industrielle de 1750 qui est le commencement du système capitaliste. En deux siècles et demi, les pays appelés « développés » ont consommé une grande partie des combustibles fossiles créés en 5 millions de siècles.
La concurrence et la soif de profit sans limite du système capitaliste est en train de détruire la planète. Pour le capitalisme il n’y a pas d’être humain mais des consommateurs . Pour le capitalisme il n’existe pas la mère terre mais les matières premières. Le capitalisme est la source des asymétries et déséquilibres dans le monde. Il génère luxe, ostentation et gaspillage pour une poignée pendant que des millions meurent de faim dans le monde. Dans les mains des capitalistes tout se convertit en marchandise: l’eau, la terre, le génome humain, les cultures ancestrales, la justice, l’éthique, la mort… La vie elle-même, tout absolument tout, se vend, s’achète dans le  capitalisme. Et jusqu’au « changement climatique » lui-même qui se convertit en un  négoce.


Le « changement  climatique » a placé toute l’humanité devant une grande alternative: continuer sur le chemin du capitalisme et de la mort, ou emprunter le chemin de l’harmonie avec la nature et le respect de la vie.
Dans le protocaole de Kyoto de 1997, les pays développés et d’économie en transition se proposaient de réduire leurs émission de gaz à effet de serre au moins de 5%  plus bas que le niveau de 1990, grâce à l’implication de différents instruments dans lesquels prédominaient les mécanismes du marché.
Mais en 2006, le gaz d’effets de serre, loin de se réduire, ont encore cru de 9,1% par rapport à 1990 en démontrant  aussi de cette façon l’inaccomplissement des engagements des pays développés. Les mécanismes de marché appliqués dans les pays en développement [2] n’ont pas obtenu une diminution significative des émissions de gaz à effet de serre.
De même  que le marché est incapable de régler le système financier et productif du monde, le marché n’est pas non plus capable de régler les émissions de gaz à effet de serre et seulement  gén,érer un grand négoce pour les agents financiers et les grandes multinationales.

La Planète est beaucoup plus importante que les bourses de Wall Street et du monde

Tandis que les Etats-unis et l’Union Européenne destines 4.100 billions de dollars pour sauver les banquier d’une crise financière qu’ils ont eux mêmes provoqués ils  destinent  313 fois moins c’est-à-dire 13 billions de dollars aux programmes consacrés au changement climatique.
Les ressource pour le changement climatique sont mal distribuées. Il y a plus de ressources pour réduire les émissions (mitigation) et moins pour contrecarrer les effets du changement climatique dont nous souffrons nous les pays (adaptation)[3] . La grande majorité de ressources affluent coulent aux pays qu’ils ont plus contaminés et non aux pays que nous avons plus préservé l’environnement. 80 % des projets du Mécanisme de Développement Propre se sont concentrés dans seulement quatre pays émergents.
La logique capitaliste revient à promouvoir le paradoxe qui veut que ce sont les secteurs qui ont plus contribué à abîmer l’environnement qui bénéficient  le plus des programmes liés au changement climatique
De la même manière, le transfert de technologie et le financement pour un développement propre et soutenable des pays du sud est resté au niveau des discours.
Le prochain sommet sur le Changement climatique à Copenhague doit permettre d’accomplir un saut si nous voulons sauver la mère terre et l’humanité. Pour cela nous proposerons les propositions suivantes pour le processus qui va de Poznan à Copenhague.

Attaquer les causes structurelles du changement climatique

1) Discuter sur lkes causes structurelles du changement climatique. Tant que nous  ne changeons le système capitaliste pour un système basé sur la complémentarité, la solidarité et l’harmonie entre les peuples et la nature, les moyens que nous  adopterons seront palliatifs et auront un caractère limité et précaire. Pour nous, ce qui est détruit est le modèle de « vivre mieux », du développement illimité, de l’industrialisation sans frontière, de la modernité qui déprécie l’histoire, de l’accumulation croissante au dépend de l’autre et de la nature. Pour cela nous proposons le Vive Bien,, en harmonie avec les autres êtres humains et avec notre Mère la Terre.
2) Les Pays développés ont la nécessité de contrôler leurs modèles consuméristes – de luxe et de gaspillage-spécialement la consommation excessive de combustible fossiles. Les subventions aux combustibles fossiles, qui montent à 150-250 billions de dollars, [4] doivent être progressivement éliminées. Il est fondamental de développer les énergies alternatives comme l’énergie solaire, la géothermique, l’énergie solaire, éolienne et l’hydroélectrique en petite et moyenne échelle.
3) Les agrocombustibles ne sont pas une alternative parce qu’elles opposent la production des aliments pour le transport à la production des aliments pour les être humains.  Les agrocombustibles développent les zones cultivées aux dépends des forêts et la biodiversité, elles engendrent la monoculture, promeuvent la concentration de la terre, déteriorent les sols, assèchent les sources d’eau, contribuent à la haussze du prix des aliments et, dans bien des cas consomment plus d’énergie qu’elles en créent.

Les engagements substantiels de réductions d’émission qui doivent être accomplis

4) Accomplir strictement pour  2012 l’engagement [5] des pays développés de réduire les émissions de gaz à effet de serre au moins de 5 % au-dessous des niveaux de 1990. Il n’est pas acceptable que les pays qui ont historiquement contaminé la planète parlent de plus grandes réductions pour l’avenir ne tenant pas leurs  engagements présents.
5) Etablir de nouveaux objectifs minimaus pour les pays développés de 40% pour 2020 et de 90% pour 2050 de réduction de gaz à effet de serre en prenant comme point de départ le niveau d’émission de 1990. Ces objectifs minmaux de réduction doivent se faire de manière interne aux pays développés et non à travers des mécanismes flexibles de marché qui permette d’acheter des certificats de réduction d’émission pour continuer à contaminer dans son propre pays. De la même manière on doit établir des mécanismes d’explication, d’information et de vérification transparentes, accessibles au public, pour garantie l’accomplissements des dits objectifs.

6)  Les pays en développement qui ne sont pas responsables de la contmination historique doivent préserver l’espace nécessaire pour implanter un développement alternatif et soutenable qui ne répète pas les erreurs des processus d’industrialisation sauvage qui nous a mené à la situation actuelle. Pour assurer ce processus, les pays en développement nécessitent avant tout, le financement et le transfert de technologie.

Un Mécanisme Financier complet, pour s’occuper de la dette écologique

 7) En reconnaissance de la   dette écologique historique qu’ils ont face à  la planète, les pays développés doivent créer un Mécanisme Financier complet pour apporter un appui aux pays en développement sur la mise en oeuvre de ses plans et de ses programmes d’adaptation et la conséquences du changement climatique; grace à  l’innovation, au  développement et au transfert de technologie; dans la conservation et l’amélioration de ses puisards et nappes phréatiques ; edans les actions de réparation des graves désastres naturels provoqués par les changements climatiques et dans l’exécution de plans de développements durables et compatiblesd avec la nature.  .
8) Ce mécanisme financier complet, pour être effectif, doivent compter pour le moins un apport de 1% du PIB des pays développés[6] et tabler sur d’autres ressources provenants d’impots sur les hydrocarbures, sur les transactions financières, le transport maritime et aériens, et les profits des transnationales. 

9) Le financement apporté par les pays développés doit s’ajouter à l’aide officielleau Développement; à l’Aide bilatérale et/ou attribuée par l’intermédiaire d’organismes qui ne dépendent pas des Nations Unies. N’importe quel financement qui ne viendrait pas de la CNMUCC(?) ne pourra être consédéré comme l’application des ententes des pays développés sous la Convention.
10) Le financement doit s’appliquer aux plans ou programmes nationaux des Etats, et non aux projets qui répondent à la logique du marché,
11) Le financement ne doit pas être destiné
 seulement à quelques pays développés, mais être destiné en priorité aux pays qui ont le moins contribué aux émissions de gaz à effet de serre, ceux qui prennent le plus soin de la nature et/ou qui souffrent le plus des conséquences du changement climatique.
12) Le mécanisme de financement soit s’effectuer intégralement sous l’égide des Nations Unies, et non du Fonds Global de l’Environnement, et ses dérivés, comme la Banque Mondiale, ou les Bannques Régionales; sa gestion doit être collective, transparente, non bureaucratique, ses décisions doivent être ptrises par tous les pays membres, notamment les pays émergents, et pas seulement par les donateurs et les bureaucraties administratrices.
Transfert des technologies aux pays émergents.
13) Les innovations et les technologies en relation avec le changement climatique doivent dépendre du domaine public, et non du privé, quand au monopole et aux brevets, régime privé qui fait obstacle aux pays en voie de développement et qui aggravent le coût de transfert des technologies.
14) Les produits qui sont le fruit du financement public, pour les innovations et le développement des technologies, doivent dépendre du domaine public, et non du privé, – brevets- de telle sorte que les pays émergents puissent accéder plus facilement à leur exploitation.
15) Il faut améliorer en le réformant profondément le système des licences obligatoires et volontaires, pour tous les pays puissent aquérir rapidement et à prix accessibles les inventions déjà brevetées. Les pays développés ne peuvent considérer les brevets et droits de propriété intellectuelle comme quelque chose de « sacré » que l’on pourrait vendre à n’importe quel prix. Le régime de flexibilité  qui existe pour les droits de propriété intellectuelle, quand il s’agit de graves problèmes relatifs à la santé publique, doit être adapté et notoirement étendu pour soigner notre Mère la Terre.
16) Faire connâître et promouvoir le mode de vie en harmonie avec la nature des peuples indigènes qui ont démontré leur efficacité tout au long des siècles, les adapter progressivement avec la participation des peuples.
17) Impulser des actions, programmes, et plans d’adaptation et application progressive avec la participation des populations locales et les peuples indigènes, dans le respect total des uns et des autres, sous l’égide de la Déclaration des Nations Unies sur les Droits des Peuples Indigènes.Le meilleur atout pour faire face à la menace à la menace du changement climatique, ce n’est pas le mécanisme des marchés, mais ce sont les êtres humains, organisés, mobilisés, et conscients de leur identité.
18) La réduction des émissions  dûes à la déforestation et aux dégradations des forêts REDD (?) doit s’accompagner d’un mécanisme de compensation directe des pays développés envers les pays émergents, avec une large implication des populations locales et des peuples indigènes, plus  encadrement, rapports et contrôles, transparents et publics.
Une sorte d’ONU de l’Environnement et du Changement Climatique.
19) Nous avons besoin d’une Organisation Mondiale de l’Environnement et du Changement Climatique aux directives de laquelle doivent se conformer les organisations financières et commerciales multilatérales, afin de promouvoir un modèle de développement respectueux de la nature, et aussi de résoudre les graves problèmes de la pauvreté. Cette organisation doit s’appuyer sur des mécanismes capables de suivi, contrôle, et sanction, pour pouvoir faire appliquer les accords présents et futurs.
20) Il faut radicalement et structurellement transformer l’OMC, la Banque Mondiale, le FMI, et le  système économique international dans leur ensemble, afin de garantir un commerce juste et complémentaire, un financement sans restrictions capable d’assurer un développement équilibré qui ne gaspille pas les ressources naturelles et les combustibles fossiles, dans les processus de production , commerce, et transports des produits. Au cours du système de négociations à Copenhague, il est primordial que les instances actives s’engagent à faire  participer à tout niveau, national, régional, et mondial,  tous les peuples, en particulier les secteurs les plus touchés comme les populations indigènes, qui, depuis toujours, s’attachèrent à protéger notre Mère la Terre.
L’humanité est capable de sauver la planète, pour peu qu’elle veuille se réapproprier les principes de la solidarité, la complémentarité, et l’harmonie avec la nature, au lieu de poursuivre sa course vers la concurrence, l’appât du gain, et la surconsommation – le gaspillage – des ressources naturelles
 
[1] A cause du phénomène de la “Niña”, qui se produit avec une plus grande fréquence par suite des changements climatique, la Bolivie a perdu en 2007, 4% de son PIB.
[2] .Connu comme le Mécanisme de Développement Propre.
[3] Actuellement il existe seulmement un Fond d’Adaptation autour de 500 million,s de dollars pour plus de 150 pays en voie de développement. Selon le Secrétariat de l UNFCCC il faudrait 171 billions de dollars pour l’adatation et 380 pour la mitigation. .
[4] Rapport de Stern
[5] Protocolo de Kioto, Art. 3.
[6] Le pourcentage de 1 % du PIB a été  suggéré dans le rapport Stern et représente moins de >700 billions de dollars par an .
[7] Selon UNCTAD (1998) en algunas paises desarrollados el financiamiento público contribuye con el 40 % de los recursos para la innovación y desarrollo de tecnología.

5 commentaires

  1. A la lecture des déclarations d’Evo MORALÉS, avec cette sagesse dont il fait preuve dans son analyse des dangers que court la planète à laisser se poursuivre la fuite en avant du système capitaliste, unique, sinon principal responsable de la pollution et des destructions des ressources naturelles terrestres – alors qu’elles pourraient permettre au genre humain de vivre correctement,pour peu qu’elles soient modérément utilisées au profit de TOUS LES HOMMES , s’il est mis fin d’urgence aux destructions et aux gaspillages -, les peuples mesurent-ils la chance historique qui est la leur aujourd’hui, de voir se lever des hommes de cette trempe, des hommes d’état rares,capables de condamner les « délices trompeurs » de la société de consommation, de pousser un cri de révolte, bref, d’inciter la planète à mettre fin à la folie et à la cupidité d’un système qui la mène à sa perte ?

    Merci, Danièle, pour ce texte, que j’ai tiré et que je diffuse sans modération : il est tellement salutaire !

  2. Tout porte à penser que même si les des mesures draconiennes étaient prises rapidement, les déréglements climatiques amorcés depuis maintenant plusieurs dizaines d’années et qui semblent s’accelérer, n’auraient pas d’effets immédiats, et pire encore le mal serait, d’aprés certains climatologues, dans un stade irréversible! Espérons qu’ils se trompent, parce qu’aujourd’hui aucun état ne semble vouloir prendre le chemin que souhaite ici Mr Morales!

    D’autant que des mesurettes dans le cadre hypocrite d’une politique de developpement durable ne sont pas à la hauteur des enjeux. Car dans un système productiviste, où la concurence et le profit sont des dogmes indépassables il ne peut y avoir de maîtrise mondiale, ni des niveaux de pollution, ni des ressources naturelles.
    Dommage que Mr Morales soit le président d’un pays qui compte si peu sur la scène internationale, car il faudrait des hommes comme lui à la tête des Etats-Unis ou des pays de l’UE pour espérer un changement salvateur.

    Mais nous en sommes loin trés loin…!
    Voila ce que Mr Lauwrence Summer nouveau directeur du Conseil économique national du gouvernement de Mr Obama écrivait lorsqu’il, était économiste en chef de la Banque mondiale:

    « Les pays sous-peuplés d’Afrique sont largement sous-pollués. La qualité de l’air y est d’un niveau inutilement élevé par rapport à Los Angeles ou Mexico. Il faut encourager une migration plus importante des industries polluantes vers les pays moins avancés. Une certaine dose de pollution devrait exister dans les pays où les salaires sont les plus bas. Je pense que la logique économique qui veut que des masses de déchets toxiques soient déversées là où les salaires sont les plus faibles est imparable. L’inquiétude sera de toute évidence beaucoup plus élevée dans un pays où les gens vivent assez longtemps pour attraper le cancer que dans un pays où la mortalité infantile est de 200 pour 1 000 à cinq ans »

    Ou encore ceci:
    « Il n’y a pas de […] limites à la capacité d’absorption de la planète susceptibles de nous bloquer dans un avenir prévisible. Le risque d’une apocalypse due au réchauffement du climat ou à toute autre cause est inexistant. L’idée que le monde court à sa perte est profondément fausse. L’idée que nous devrions imposer des limites à la croissance à cause de limites naturelles est une erreur profonde ; c’est en outre une idée dont le coût social serait stupéfiant si jamais elle était appliquée »

    (Citations de Lawrence Summer reprises par Éric Toussaint du Comité pour l’Annulation de la Dette du Tiers Monde)

  3. Vous avez l’air d’avoir lu sans problème la fin du texte en espagnol, je pense à toi en particulier Pedrito, est-ce que cela serait trop vous demander de temps en temps de m’aider à finir de traduire comme le font Julien pour l’espagnol, Philippe et Marc pour l’anglais, sans parler de notre précieuse russophone Marianne. Ce matin je vous ai traduit un texte sur la Chine qui va dans le sens de ce que dit evo, mais c’est une performance parce que j’ai reçu le dit texte à 7 heures du matin d’un correspondant espagnol.

    danielle Bleitrach

  4. Je suis très très occupé ces temps-ci, mais justement je m’apprêtais à le faire pour le joindre aux tirages que je diffuse dans mon entourage.
    Raison de plus pour que je m’y mette au plus vite, Danièle, tu lauras çà bientôt.
    Merci encore à toi pour l’immense travail de qualité que tu abats et où nous puisons plein de connaissances. Fraternellement

  5. merci pedrito,

    j’ai besoin de vous tous, vous avez soit des capacités égales ou en plus des miennes et de celles de notre enlumineur en chef, Alain, faites vous connaître. Marc et marianne le savent il ne s’agit pas seulement de traduire mais de trouver aussi des textes, ce qui enrichit la sensibilité collective. Mais je préfère des textes qui n’ont pas été publiés et que beaucoup de gens ont lu comme celui de Lucien Sève… Mais s’il y a des avis contraires qu’ils s’expriment. L’aspect le plus réjouissant de ce blog à mes yeux est son caractère collectif et j’y vois bien le signe de notre origine à tous de communistes.
    Ce que j’ai tenté parce que cela xcorrespond non seulement à moi mais également à Alain et à bien d’autres c’est à la fois d’être fidèle à notre idéntité mais de faire le pari que plus cette identité était forte plus elle était capable d’être boulimique des autres, de la diversité autant que des engagements communs face aux défis de notre temps… Le modèle étant bien sûr Fidel dont le mode de pensée me paraît exemplaire et puis il faut bien reconnaître que c’est non seulement un philosophe géostratégique mais le plus grand blogueur de tous les temps…

    Danielle bleitrach


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