Yoani Sánchez la blogueuse cubaine patronnée par les néonazis européens, par Bush et par El païs(bref le monde « libre » dans sa totalité) découverte en train d’écrire ses articles depuis le wi-fi des hôtels

t_cubana_144[1]d’après les informations fournies par  Guillermo Nova, para Prensa Web YVKE
date de publication : 10/05/09  
  
 Yoani Sánchez,blogueuse cubaine patronnée par les groupes européens d’extrême-droite, financée également par l’admnistration Bush ? qui veut-elle tromper ? 
 

 10 mai 2009. -La blogueuse cubaine Yoani Sánchez, rendue célébre par le prix Ortega et Gasset que lui a octroyé le 4 avril 2008 le groupe Prisa(El Païs mais aussi une bonne partie de la presse d’opposition au Venezuela), un prix  bien rémunéré et qui a l’habitude d’être donné aux journalistes avec un plus grand curriculum professionnel. Mais l’anticommunisme  a bien des vertus pour El Païs, on sait à quel point pour la presse occidentale il suffit de vomir sur Cuba pour bénéficier des voies de la notriété et le financement qui va avec.  (El Païs est l’équivalent espagnol du Monde)

  Donc elle a été récompensée le 4 avril 2008 par le prix Ortega y Gasset, décerné annuellement par le quotidien espagnol El País, dans la catégorie « journalisme électronique », qui gratifie la défense de la liberté d’expression. Le quotidien El Pais, qui délivre ce prix chaque année, a expliqué que Sanchez l’avait emporté en raison de l’”ingéniosité” dont elle fait preuve en surmontant les entraves à la liberté d’expression à Cuba, de son style “vivace” et de sa volonté de rejoindre “l’espace mondial du journalisme citoyen”. Yoani Sanchez a coutume  de dénoncer dans ses articles son interdiction d’accès a Internet, elle soutient même  que ce sont des amis qui transmettent sur la red ses articles manuscrits.

Et pour aller jusqu’au bout du ridicule, en 2008, elle a été consacrée  l’une des 100 personnes les plus influentes au monde selon le Time avec toujours le même leimotiv sur l’incroyable ingéniosité dont elle devait faire preuve pour surmonter la censure et un environnement aussi désespérant qu’hostile.qu’on en juge plutôt à travers ses lignes écrites le 27 février 2009 sur son blog, ceux qui connaissent Cuba apprécieront la dexcription : « Bordeo mi edificio, evitando pasar por debajo de los balcones, pues los niños lanzan preservativos llenos de orine para matar el aburrimiento. Un hombre con su hija lleva una bolsa que gotea una mezcla de grasa, agua y sangre. Vienen de la carnicería, donde la larga cola anuncia que algún producto racionado llegó en la […]Febrero 25th, 2009″ Je longe mon immeuble, en évitant de passer sous les balcons où des enfants lancent des préservatifs remplis d’urine pour tromper l’ennui. Un homme avec sa fille porte porte une bourse d’où suinte un mélange de graisse, d’eau et de sang. Ils viennent de la boucherie où une longue queue annonce que certains produits rationnés sont arrivés…  »

Bref c’est tout à fait dans le style Zoé Valdes celui qui paye à défaut d’avoir de véritables qualités littéraires, il en rajoute dans la noirceur et les périls affrontés par ces femmes, et cette jeune femme véritablement héroïque, nous dit-on, elle écrit son blog depuis La Havane, et il est publié sur Internet par un réseau d’entraide disséminé sur toute la planète car l’accès depuis Cuba au site qui l’héberge est bloqué par les autorités de l’île.
Aussi quelle ne fut pas la surprise quand le mercredi 6 mai, des représentants de la presse internationale accréditée à la Foire Internationale du Tourisme de Cuba  (Fitcuba 09), purent la croiser à l’heure du déjeuner dans l’Hôtel NH Parque Central de la havane. (voir phot prise par l’un d’entre eux à la fin du texte)

Avec une totale tranquilité elle était installée dans le salon de reception avec son ordinateur portable connecté à la red Wi Fi de l’hôtel, dans lequel il faut payer en devise étrangères, mais il est clair qu’elle n’en manque pas.

Elle est apparue devant plus de 180 journalistes accradités à cet événement, sans que personne de la Sécurité de l’Etat ne la gêne, ni sans souffrir d’aucun acte de désaprobation de la part de la population, alors qu’elle ne cesse de décrire dans ses articles ce qu’elle subit quotidiennement.

La surprise

La surprise et la désillusion fut grande chez certains professionnels étrangers dont les journaux payent pour ses collaborations, et publient des textes d’elle qui rapportent ses lamentations devant les difficultés d’accès à Internet, ce qui conduit y compris à s’interroger sur la véracité du reste de ses écrits.

Yoani Sánchez écrit dans une page web qui s’intitule desdecuba.net, mais en réalité elle ne provient pas de l’île,  le serveur est logé en Allemagne et enregistré au nom de Josef Biechele, le pourvoyeur est l’entreprise  Cronos AG Regensburg, laquelle abrite également d’autres pages de l’extrême-droite et de néonazis et qui a été dénoncée par les verts allemands. Le parrain est  IGFM  et il a comme un des ses porte paroles le saxon Arnold Vaatz, cette entreprise durant l’administration Bush a reçu des millions de dollars d’aide.

 t_joani_562[1]

2 commentaires

  1. Quand je pense qu’on ose intituler un prix de la désinformation massive « Ortega », ce pauvre président sandiniste doit être outré !

  2. Pfffff…. Déprimant toute cette presse qui enchante le monde avec cette super blogueuse alors qu’ils ne savent même pas s’il elle invente pas la moitié de ce qu’elle écrit. Perso je suis allé à Cuba, et les gens me parlait assez librement, même pour critiquer le système (bien qu’à chaque fois ils précisent que tout n’est pas mal, éducation-santé et culture…) Bref, Cuba n’est pas ce qu’on croit et c’est en tous cas moins pire que les « démocraties » capitalistes qu’ont pu être de nombreux pays d’amérique du sud et que certains sont encore, où l’ont peut voir la misère comme elle n’existe plus à Cuba.


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